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Affichage des articles du octobre, 2015

Ist-Vih/Sida en milieu estudiantin: Le vaccin social, la nouvelle arme de bataille

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Le Centre international de référence Chantal Biya et le ministère de l’enseignement supérieur ont signé ce 28 septembre une convention de partenariat, sur la base d’un programme de lutte contre cette pandémie. S elon Jacques Fame Ndongo, ministre de l’enseignement supérieur, « aucun étudiant ne peut mener ses activités académiques s’il est malade, aucun enseignant ne peut dispenser ses cours s’il est souffrant, aucun personnel d’appui ne peut aider les enseignants à faire leurs travails s’il est lui-même miné par une pathologie à l’instar du Sida ». Au vu de cette réalité, c’est devant plus d’une centaine d’étudiants, que le programme vaccin social a été exposé à l’université de Yaoundé II, Soa. Ceci lors de la signature d’une convention de partenariat entre le Centre international de référence Chantal Biya (Circb) et le ministère de l’enseignement supérieur (Minesup). L’optique étant d’enseigner un ensemble de stratégies en milieu scolaire et universitaire, qui vise « à faire

Filière des oléagineux: Les transformateurs dans la tourmente

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L’Association des raffineurs des oléagineux du Cameroun a fait état ce 21 octobre des obstacles liés à sa compétitivité et son développement lors d’une conférence de presse.   Selon des transformateurs des produits oléagineux, le gouvernement camerounais devrait s’inquiéter davantage pour l’avenir de cette filière. Réunis lors d’une conférence de presse mercredi dernier à Yaoundé, les membres de l’Association des raffineurs des oléagineux du Cameroun (Asroc) notamment ont exposé sur les problèmes qui minent leur secteur d’activité. Il s’agit d’après leur rapport, des importations massives et incontrôlées d’huiles végétales raffinées en violation de la réglementation en matière de prix de référence qui est de 1500 Fcfa le Kg pour la taxation des huiles raffinées importées, et de norme d’application obligatoire. Des manquements auxquels viennent s’ajouter les difficultés liées aux insécurités frontalières dans la partie septentrionale avec la guerre contre la nébuleuse Boko Har

Maladies mentales: Le quotidien des familles en charge des malades

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Elles sont nombreuses, ces personnes qui au quotidien doivent vivre et s’occuper d’un proche souffrant de troubles mentaux.   « Les problèmes de mon mari ont commencé il y a de cela deux mois. Je prépare, il prend les assiettes et part tout jeter avec la nourriture. Les premiers jours de rentrée scolaire, il a failli cogner une maîtresse avec la pierre. La police l’a arrêté et je suis allé payer 30.000 FCfa pour le récupérer. On est venu ici à l’hôpital Jamot avec lui le 30 septembre à 4 heures », explique Mme Bodo, déboussolé. Indifférence, perte de mémoire, incapacité de se laver et se nourrir, hostilité inhabituelle, destructions des biens d’autrui, recroquevillé sur elle-même, monologues incohérents. Tels sont là, quelques troubles psychiques donc souffrent les personnes affligées de maladies mentales. Des manifestations auxquels doivent faire face les familles et proches de ces malades qui souvent deviennent des victimes ou des bourreaux inconscients de leurs familles. «